Marine, stagiaire, a un coup de cœur pour le métier d’auxiliaire de vie
Atousages mène avec enthousiasme et énergie, depuis ses débuts, une politique d’accompagnement des stagiaires au poste d’auxiliaire de vie . Convaincue de l’importance qu’ont les acteurs de terrain, l’équipe Atousages se réjouit de l’arrivée d’une ou un stagiaire en tant qu’aide à domicile, et a mis en place une stratégie d’accueil, avec les tutrices formées à l’exercice (voir dernier article du 18/11/20). Le métier d’assistante de vie, ou aide à domicile, ou auxiliaire de vie a ceci de particulier qu’il est impossible de l’exercer de manière professionnelle tant que l’on n’a pas été formé. Mieux : tant que la formation ne s’est pas doublée d’une immersion au cœur des équipes, c’est-à-dire au plus près des bénéficiaires.
Dans ce cadre là, l’équipe a accueilli Marine, 18 ans, qui pendant plusieurs semaines a suivi les bénéficiaires et leurs familles, accompagnée de sa tutrice, Frédéric. Elle a pu observer et se confronter aux différents aspects d’un travail de terrain et mettre en pratique tous les acquis de sa formation.
Marine :
« Après avoir commencé par un Bac pro aide à la personne, je me suis orientée vers un diplôme d’AES (accompagnant éducatif et social). Une première expérience en structure a complété ma formation et j’avais très envie de tenter le domicile. Ce que j’ai fait avec Atousages. Ce fut pour moi une révélation, un vrai coup de cœur. J’ai adoré l’expérience qui est totalement différente d’une structure comme un ehpad : aucune routine, rien de répétitif, des journées très variées avec des tâches multiples et tellement utile. J’ai beaucoup appris et je trouve que le lien social que l’on tisse avec la personne âgée est unique. C’est un métier passionnant et je recommande vraiment de le tester sur le terrain, car on n’imagine pas à quel point c’est chouette ».
Pour les salarié.e.s Atousages, le passage de Marine avec son regard extérieur, ses idées, les méthodes dont elle apprend les gestes, et l’enseignement qu’elle suit, apporte une petite bouffée d’oxygène, y compris chez les bénéficiaires. Car les personnes âgées aiment les visites et apprécient la discussion avec les jeunes gens. C’est gagnant gagnant pour tout le monde, équipe, auxiliaires et bénéficiaires.