Les jeunes investissent les métiers d’aide à la personne

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Les jeunes gens, attirés par les filières des métiers de service à la personne, veulent un métier qui donne du sens à leurs actes, un métier dans lequel ils éprouvent le sentiment d’utilité, à forte valeur humaine. C’est dans cet état d’esprit que notre nouvelle recrue, Typhaine, âgée seulement  de 22 ans, vient d’intégrer l’équipe d’aides à domicile :

Typhaine

« Titulaire de diplômes comme un BEP sanitaire et social et un BAC service à la personne et aux territoires, en alternance, j’ai également un CAP esthétique parce qu’au départ ces deux branches professionnelles m’intéressaient. C’est la vie qui a orienté mon choix car à l’occasion d’une épreuve difficile traversée par un membre de ma famille, j’ai exercé le métier d’aide à domicile bénévolement  pendant plusieurs mois. J’ai mis en pratique les techniques professionnelles du service à la personne. Et comme le relationnel est un des aspects du métier qui m’intéresse le plus, je sais que travailler en tant qu’auxiliaire de vie va dans ce sens.

Le service à la personne, tout public

Par ailleurs, j’aime beaucoup m’occuper des personnes âgées qui me rappellent mes grands parents. Auprès d’eux je peux apporter soins, bien-être, et améliorer leur confort de vie. Rejoindre l’équipe d’auxiliaires de vie Atousages me permet de travailler sur un secteur donné et cela est très agréable car les déplacements sont maîtrisés. Un autre aspect du métier qui est plaisant c’est la variété des publics. Par exemple, je peux être amenée à m’occuper des enfants. Pour moi qui ai souvent fait du baby-sitting, c’est un aspect du service à la personne qui nous change un peu dans notre quotidien. Pas le temps de m’ennuyer. »

Typhaine souligne un  trait essentiel de son activité, très apprécié des auxiliaires de vie : les différents publics auprès desquels elles (ils) interviennent : souvent associés aux personnes âgées (qui représentent un nombre croissant),  les interventions à domicile concernent aussi les activités de garde d’enfant, mais aussi d’assistance aux personnes malades, en sortie d’hospitalisation, quel que soit leur âge, quelle que soit la durée de la convalescence.

Des perspectives d’évolution

« Aujourd’hui j’ai pris mes marques auprès des bénéficiaires chez qui j’interviens, je me sens en confiance. D’ici quelques années j’espère pouvoir reprendre des études pour devenir aide-soignante. Je suis jeune, je peux me projeter et envisager une carrière sanitaire et sociale. Mais rien ne presse. »

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