De l’idée reçue à la réalité : employé(e) de maison, domestique, servante, boniche… ou assistant(e) ménagè(e) ?

 Dans Projet entreprise

L’assistant(e) ménagèr(e) n’est pas un(e) simple domestique, il (elle) est beaucoup plus que cela ; c’est un(e) professionnel (le) de l’entretien, c’est-à-dire qu’(il) elle a reçu une formation validée.

Muriel Le Dévéhat, gérante Atousages :

« Nos clients ont appris à faire la différence depuis qu’ils ont recours aux assistant(e) s ménagèr(e) s d’Atousages. » Parce que l’idée reçue que « faire le ménage est à la portée de n’importe qui », que « c’est quand même pas compliqué ! » est bien ancrée dans certains esprits. Si vous recherchez quelqu’un qui sache passer le chiffon, un petit coup « pof, pof », pas de problème : vous allez trouver ! Mais si vous souhaitez bénéficier d’un service complet, c’est-à-dire l’entretien de votre logement, du sol au plafond, le repassage, la petite couture, etc. dans le respect des règles d’hygiène, avec un protocole adapté à votre logement, c’est déjà plus difficile.

Qu’est-ce qu’un protocole de ménage ?

Muriel Le Dévéhat !:

« Le protocole est une manière de faire le travail qui répond à des codes ; un travail personnalisé et prédéfini avec l’agence, effectué par quelqu’un qui saura ne pas se blesser, quelqu’un qui est capable de voir immédiatement le travail à faire sans qu’on le lui dise, une personne qui utilise les bons produits, et tout cela dans un temps imparti, avec une obligation de résultat qualitatif, vérifiable par une équipe du service qualité.

Seule une personne qui connaît les gestes et les postures à adopter pour ménager son corps, qui sait lire les étiquettes des produits qu’elle utilise, voire proposer des solutions simples, efficaces et pas chères, pour pallier aux problèmes rencontrés peut réaliser un travail de qualité. Elle est donc force de proposition dans son travail.

Aujourd’hui on parle d’un métier, celui d’assistant(e) ménagèr(e), dont la première exigence est de connaître le besoin de son client. Un besoin respecté et pris en compte dans la mission qui lui est confiée. Car l’assistant(e) ménagèr(e) reste libre de juger la pertinence de sa mission, d’évaluer les moyens qu’on lui donne pour la réaliser et ses propres capacités à s’exécuter. Si tel n’est pas le cas, l’agence alertée prend en compte les manques et propose des solutions, comme une formation complémentaire, par exemple. Un(e) professionnel (le) du ménage répond aussi à un code déontologique, et dans ce cadre-là, ne peut évidemment pas accepter de cadeau, chose qui se faisait couramment autrefois, ni en faire d’ailleurs ».

Qu’est-ce qu’être professionnel (le) de l’entretien ?

Une personne professionnelle met en avance des compétences validées par une qualification, par opposition au bénévolat ou à l’amateurisme. Chez Atousages, il n’y a pas de poste pour un bénévole ou un amateur ! En plus de travailler chez différentes personnes, nos salarié(e) s contribuent à la vie de l’entreprise. Leur emploi est protégé par une sécurité juridique, car il (elle) est avant tout un(e) salarié(e), épaulée par l’équipe agence, voire coachée. Les clichés ont la vie dure, mais n’est pas assistant(e) ménagèr(e) qui veut ! Et si le métier est appelé à prendre du galon, il gagne aussi en considération.

 

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